lundi 2 avril 2018

Au hasard de l'écoute ...Samuel Strouk encore!



 Je vais me baladant sur Facebook, sur youtube , cherchant ca et là à écouter de la musique, à trouver des concerts de ceux que nous aimons…En particulier je pense à Samuel Strouk que je désespère d’écouter un jour live du côté de chez nous ou enfin pas trop loin… et je tombe sur ces lignes de Citizen Jazz du 26/11 /17 à propos de Silent walk :

« Jeune compositeur reconnu pour le cinéma notamment, le guitariste Samuel Strouk navigue depuis des années entre musique écrite et fonctionnelle, relations épisodiques avec le jazz et attirance forte pour l’Europe Centrale, particulièrement les traditions yiddish. A ce titre, son nom n’est pas inconnu des lecteurs de Citizen Jazz, puisqu’on l’avait découvert dans le magnifique Estde François Salque et Vincent Peirani pour un titre de son cru, justement appelé « Yiddish » où on le retrouvait à la guitare, d’obédience classique, davantage harmonique que rythmique. »
par Franpi Barriaux.

Et...je découvre !
EST de Vincent Peirani et François Salque, nous l’avions découvert en suivant Vincent, et découvert aussi en direct François Salque…merveille !

Mais  nous n’avions pas noté la présence de Samuel Strouk , ni d’ailleurs celle de Jocelyn Menniel !
Depuis, Jocelyn Menniel, nous l’avons découvert en assistant par hasard  en seconde partie de Pulcinella, dans le Mechanics de Sylvain Rifflet !
Quant à Samuel Strouk, par  sa collaboration au Piazzolla de Daniel mille , je connaissais son nom ! Vincent d’ailleurs,  m’avait signalé quand j’ai fait un post sur Cierra tus ojos que j’avais négligé de le citer, pour ses arrangements et sa direction musicale ! Et ! Vincent Peirani, Daniel mille, pour nous ce sont des Grands, et des références incontestées …

Puis cet hiver est sorti Silent Walk ! Alors là il n’y a ni références ni participation aux arrangements qui comptent, c’est le choc de Sa musique, la guitare certes, mais les mélodies, la construction du projet de musique, l’orchestration ! Tout !
J’ai  adoré, connoté, divagué à son écoute !
Et toujours je cherche un live… (à moins de 400 km !)

 J’ai donc redécouvert, écouté, réécouté Yiddish !!!Les rencontres, ainsi je l’éprouve en littérature aussi,  c’est magique, et toujours hasardeux, comme les hasards de la vie !
 Voilà Yiddish :

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